08/07/2019
Notre Banque Nationale et sa politique monétaire
Un article de l'Illustré de cette semaine, qui relate la possibilité d'un scénario catastrophe pour notre pays ces prochains mois ou années, donne à penser que l'escroquerie généralisée est devenue la règle élémentaire au sein de la finance.
Je ne rentre pas dans les détails de cet article et je renvoie les lectrices et lecteurs vers le lien un peu plus bas ci-dessous. Vit-on au milieu des escrocs et faisons-nous confiance aux escrocs? A chacun et chacune de pressentir dans quel monde nous vivons et à quelle société nous aspirons ou au contraire penser que tout est foutu et qu'il est temps de vivre exclusivement pour soi et pour les siens.
Pour ma part, j'aime les thriller des plus belles monnaies antiques qui ont passé de mains en mains, ont été découvertes un jour de façon licite ou illicite, vendues, dérobées, voyagé à travers le monde plus ou moins secrètement, se trouvant au centre d'affaires criminelles, voir de meurtre, et de procès pour connaître qui, à la fin, en serait vraiment devenu le propriétaire légal et officiel au fil du temps.
Peut-être que la réponse serait: est légitime celui ou celle qui chouchoute et aime l'énigmatique voyage d'une pièce millénaire à travers les âges en l'a faisant prendre des bains de soleil, l'énergie de la lumière et de douces caresses finissant par redonner à la monnaie sa plus belle lumière débarrassée de sa trop longue corruption.
https://www.illustre.ch/magazine/bns-aspire-lepargne-suis...
A fait un beau voyage
Heureux qui comme Ulysse
A vu cent paysages
Et puis a retrouvé
Après maintes traversées
Le pays des vertes allées
Quand le soleil vous chante au cœur
Qu'elle est belle la liberté, la liberté
Quand un ami fait le bonheur
Qu'elle est belle la liberté, la liberté
Avec la pluie et le beau temps
On vivait bien contents
Mon cheval, ma Provence et moi
Mon cheval, ma Provence et moi
A fait un beau voyage
Heureux qui comme Ulysse
A vu cent paysages
Et puis a retrouvé
Après maintes traversées
Le pays des vertes allées
Quand le soleil vous chante au cœur
Qu'elle est belle la liberté, la liberté
Quand un ami sèche vos pleurs
Qu'elle est belle la liberté, la liberté
Perdus au milieu des étangs
On vivra bien contents
Mon cheval, ma Camargue et moi
Mon cheval, ma Camargue et moi
"L'esprit humain ne peut concevoir
quelque chose de plus grand que ces pièces."
J.J. Winkelmann, 1759
11:15 | Lien permanent | Commentaires (0) |