13/06/2015
Helly Luv, la diva peshmerga
L'égérie pop des combattants kurdes résistant contre l'avancée des djihadiste d'ISIS a créé un clip vidéo en faveur de la liberté de tous les peuples du monde et contre la guerre.
Mais comme pour gagner la paix, il faut combattre le terrorisme international, point de salut par la chanson. Il faut porter l'uniforme et l'arme. Il faudra encore beaucoup de sang et de larmes avant de se libérer de cette idéologie fasciste qu'est l'islamisme radical.
http://www.lematin.ch/monde/diva-pop-kurde-pose-egerie-antiei/story/2787144
11:51 | Lien permanent | Commentaires (0) |
Relaxe, DSK
Plus de dodo dans la saumure derrière les barreaux, DSK. Juste quelques murmures vidéos dans la chambre à baiser et des rodéos porno à satiété avec ta petite realdoll, ta poupée de luxe achetée sur le trottoir du marché du sexe qui ne te coûtera qu'une seule fois une somme rondelette avant de t'appartenir à vie, avant de jouer avec tous tes désirs, avant de te donner réponse immédiate à toutes tes frustations, avant de pouvoir la déchiqueter après l'avoir baisée par tous les trous, avant de la jeter, par une geste final sacrificiel, dans le vide-ordure et la brûler sur le bûcher d'un incinérateur en la regardant fondre dans son silicone avec ce dernier rictus désespéré dans le regard juste pour te signaler qu'elle aurait voulu pouvoir te dire "je t'aime" au moins une seule et unique fois au nom de toutes les femmes que tu n'as jamais su baiser qu'à travers la brutalité du rapport de force. Plus de dodo dans la saumure derrière les barreaux, DSK. Plus de menottes, plus de dégât d'image, plus d'avocat, plus de juge, plus de Femen, plus de médias, plus de public, plus de barreaux, plus de cauchemar, plus de réparation, plus de culpabilité, plus de crime, plus de femme réalité. Qu'une nappe de pétrole devenu femme plastique, une princesse en or noir et son porte.jarretelle, son regard lubrique qui te transporte au huitième démentiel et sa voix suave distillée sur un logiciel.
Mais relaxe, DSK.
Ton nouveau sex symbol
s'appelle Realdoll 2806.
Elle t'attends à l'hôtel Carlton
où tu pourras jouer Joe Dalton
dans une partie de Sofitel avec elle
sans rencontrer dans ton hold-up
le cow-boy tirant ses coups au ketchup
les plus belles poupées de son pick-up.
Elle sera là, à vie, rien que pour toi
comme une sexclave noyée dans ton sperme.
Mais relaxe, DSK.
Ton nouveau sex symbol
s'appelle Realdoll 2806.
Femme de ménage métisse de peau,
soumise et foutue comme tu voudras.
Tu pourras jouer au SM
dans la suite présidentielle numéro 2806
TWO EIGHT O SEX
et t'envoyer au 8ème démentiel
avec ses huiles essentielles,
son regard lubrique et son porte-jarretelle.
09:09 | Lien permanent | Commentaires (0) |
12/06/2015
Ex-femme des sixties et des années folles...
Silicone girl
Realdoll.
C'est l'amour des pauvres
qui te console
et la mort des riches
qui te désole.
Idole de l'homme esseulé
abandonné de sa babydoll,
que feras-tu de la chair humaine?
Intelligente, artificielle,
sensuelle, sexuelle.
Virtuels les filles
et leurs sentiments
dédiés aux fleurs du mâle.
Où sont passées nos icônes
remplacées par des connes de l'esprit
fuyant l'homme et son désert sensuel?
08:54 | Lien permanent | Commentaires (2) |
11/06/2015
Gainsbourg par Gainsbourgh
Le couloir de la mort
Le mascara dégouline sur ton visage.
Mais aux armes. Elle se taira.
Le salaire de la peur.
Le salaire qui te fait peur.
Il était une fois dans sa vie
un cow-boy un peu solitaire
traversant tes champs solaires
le colt toujours prêt,
le colt bandé, paré pour le coït,
avec toi, plongée dans ma nitroglycérine.
Le mascara dégouline sur ton visage.
Mais aux armes. Elle se taira.
Le salaire de la peur.
Le salaire qui te fait peur.
Il était une fois un homme
acteur branché sur son secteur
maître chanteur au sommet
traversant tes déserts lunaires
le regard toujours prêt,
le pétard affûté, paré pour le coup de feu,
avec toi, tirée comme une lapine.
Le mascara dégouline sur ton visage.
Mais aux armes. Elle se taira.
Le salaire de la peur.
Le salaire qui te fait peur.
Allons ma fille de la partouze
Entends-tu mugir
ce féroce soldat,
amour sacré de sa penthouse
branchée dans tes serrures.
Je chante comme un pied
et toi comme une cheville
prise devant ma Bastille.
Mais toi, ma biche, prends garde.
Aux armes, elle se taira.
paroles: Gainsbourgh, pianiste de bar
musique: Hungry Ghost, "No prior Convictions"
interprète: le fantôme de Gainsbar
12:52 | Lien permanent | Commentaires (0) |
La Jet-Setteuse d'Encre
11:21 | Lien permanent | Commentaires (0) |