29/10/2011
Mon souffle, mon soupir
Ecrire. Ecrire puisque tu ne seras plus jamais là. Partir. Partir puisque seul le voyage nous intime la conviction que l'oubli sera à jamais impossible. Mentir. Mentir à tous et dire que ça va bien, que la vie continue malgré le désastre. Souffrir. Souffrir à l'intérieur comme le venin du serpent qui nous a mordu et paralysé dans notre devenir. Mourir. Mourir pour garder en vie la mémoire vive de notre amour. Et en dernier recours, écrire. Ecrire pour toutes celles et tous ceux qui vont lire et se blottir à l'amour brisé, à l'amour renié, à l'amour vaincu par les spasmes du malheur.
Si tu m'avais dit
que ton coeur était trop petit
pour aimer un océan d'amour
Si tu m'avais prévenu
que ta vie ne battait pas
au rythme de ma vie
Si tu m'avais confié toutes ces choses
qui font qu'on ne croit pas à l'amour,
je ne t'aurais pas attendu,
vierge, et libre pour toi.
Courir après toi
dans les dédales de mon esprit.
Courir après cet idéal
qui jamais ne sera chéri par ta caresse.
Courir après toi...
Et puis quoi?
Que le néant de ton absence;
que l'absence de ta danse;
que la rupture d'une très longue attente
et ton départ précipité qui chante
déjà l'amour pour un autre
et me plonge dans le précipice.
Supplice d'une âme torturée
à l'intérieur d'un château de Belle au Bois Dormant.
Comment parler du grand amour
quand l'amour devient si instinctif à rejeter?
Comment se souvenir
de tes mots pour la vie;
de ton désir de mourir
à mes côtés avant même
d'avoir vécu à mes côtés?
Comment se rappeler
que tu as tant exigé
et si peu donné
pour arriver
à cette catastrophe annoncé.
De toi,
j'ai bu à la source de tes lanternes magiques.
Mais ta sinueuse rivière enchantée
n'a jamais reconnu l'homme de sa vie
et ton amour ne se jette pas dans sa mer.
Tu m'as regardé comme on regarde une façade.
Mais de l'intérieur tu as oublié de visiter mes atours.
Si tu y avais rencontré mes merveilles d'amour
pour toi, juste pour toi,
tu n'aurais cessé
de caresser mes cuirs et mes tapis,
embrassé mes voiles et mes tableaux
en soupirant d'aise,
et en annonçant au monde entier
que ton mari
était l'homme magnifique
dont tu avais rêvé.
Mais la vie t'a montré sa dure réalité.
Mais la vie t'a montré ses gros soucis.
Mais la vie t'a montré cet homme anxieux
devant un avenir embrumé et plombé
par l'absence de richesses extérieures.
Et la vie est cruelle.
Elle ne pense jamais à la poésie
lorsque les conditions ne sont pas réunies.
La vie pense juste à vivre,
à s'amuser, à faire la fête.
D'illusion d'amour, elle se contente.
Etre heureux en amour,
dans un pays riche,
c'est être suffisament libéré
des pesanteurs du quotidien.
Etre heureux parmi les pauvres,
c'est plus facile.
Etre heureux parmi les riches,
c'est plus difficile.
Car les premiers vivent de rien
et rient à tout.
Alors que les seconds vivent de plein
en étalant leur luxe et leur ennui.
La pauvreté n'a pas sa place chez les riches.
Il faut qu'elle parte se cacher
dans un pays où la misère
lui redonnera des ailes à l'amour.
Poor Unfortunate Souls (pauvres âmes malheureuses)
.
I admit that in the past I've been a nasty
J'admets que dans le passé j'ai été désagréable
They weren't kidding when they called me kinda strange
Ils ne rigolaient pas quand ils me disaient un peu étrange
But you'll find that nowadays
Mais tu trouveras qu'aujourd'hui
I've mended all my ways
J'ai guéri à ma manière
Repented, seen the light, and made a change
Repenti, je voie la lumière, et fait un changement
And I fortunately know a little secret
Et je connais heureusement un petit secret
It's a talent that I always have possessed
C'est un talent que j'ai toujours possédé
And dear lady, please don't laugh
Et chères demoiselles, ne riez pas s'il vous plait
I use it on behalf
Je l'utilise au nom
Of the miserable, the lonely, and depressed (pathetic)
Des misérables, les seules, et dépressifs (pathétiques)
Poor unfortunate souls
Pauvres âmes malheureuses
In pain -
Dans la douleur
In need
Dans le besoin
This one longing to be thinner
Celui-ci ayant envie d'être plus mince
That one wants to get the girl
Celui-la veut obtenir une fille
And do I help them ?
Et est-ce que je les aide ?
Yes, indeed !
Oui, effectivement
Those poor unfortunate souls
Ces pauvres âmes malheureuses
So sad
Si tristes
So true
Si vraies
They come flocking to me crying
Ils viennent en troupeau pour me pleurer
"Will you help us, pretty please ? "
"Pouvez-vous nous aider, assez s'il vous plait ? "
And I help them !
Et je les aide
Yes I do !
Oui, je peux !
The men up there don't like a lot of blabber
Les hommes la-bas n'aiment pas les moulins a paroles
They think a girl who gossips is a bore !
Ils pensent qu'une fille qui bavarde est un ennui
Yes on land it's much preferred for ladies not to say a word
Oui sur le terrain il est préféré que les femmes ne disent rien
And after all dear, what is idle prattle for ?
Et après tout ça ma chère, pourquoi ce bavardage paresseux ?
They're not all that impressed with conversation
Ils ne sont pas tous impressionnés par la conversation
True gentlemen avoid it when they can
De vraie gentlemen évitent cela quand ils peuvent
But they dote and swoon and fawn
Mais ils paradent et "swoon"( ? ) et font la roue
On ladies who withdrawn
devant les dames qui se retirent
It's she who holds her tongue who gets a man
C'est celles qui tiennent leurs langues qui obtiennent un homme
Poor unfortunate souls
Pauvres âmes malheureuses
Go ahead !
Vas-y !
Make your choice !
Fais ton choix
I'm a very busy person and I haven't got all day
Je suis une personne très occupée et je n'ai pas toute la journée
It won't cost much
ça ne coûtera pas beaucoup
Just your voice !
Juste ton choix !
Those poor unfortunate souls
Ces pauvres âmes malheureuses
So sad
Si tristes
So true
Si vraies
If you wanna cross the bridge, my sweet
Si tu veux traverser le pont, ma belle
You've got the pay the toll
Tu dois payer le péage
Take a gulp
Prends une bouchée
Take a breath
Prends ton souffle
Go ahead
Vas-y
Sign the scroll
Signe le papier
Nick and Kevin
Nick et Kevin
Now I've got her, boys
Maintenant je l'ai, les garçons
The boss is on a roll
Le patron est dans un rouleau
You poor unfortunate souls
Ta pauvre âme malheureuse
In pain
Dans la douleur
In need
Dans le besoin
This one longing to be thinner
Celui-ci ayant envie d'être plus fin
That one wants to get the girl
Celui-la veut obtenir une fille
And do I help them ?
Et est-ce que je les aide ?
Yes, indeed !
Oui, effectivement
Those poor unfortunate souls
Ces pauvres âmes malheureuses
So sad
Si tristes
So true
Si vraies
They come flocking to me crying
Ils viennent en troupeau pleurer chez moi
"Will you help us, pretty please ? "
"Pouvez-vous nous aider, s'il vous plait ? "
And I help them !
Et je les aide
Yes I do !
Oui, je peux !
Those poor unfortunate souls
Ces pauvres âmes malheureuses
10:22 Publié dans Lettres | Lien permanent | Commentaires (13) |
27/10/2011
De Calvin le Réformateur aux jeunes libertins
La Cité de Calvin sous les feux de la rampe. Une classe d'étudiants s'est adonnée à la pause du nu provocateur entre poses suggestive et ivresse porno chic. Cela pour la troisième année consécutive. Les bénéfices du calendrier seront reversés à une oeuvre caritative. Donc, à priori rien à redire sur la démarche des jeunes étudiants.
Mais faut-il en être attristé ou réjoui? Est-ce de l'art ou du cochon? Un peu des deux, sans doute. Les jeunes adultes d'aujourd'hui ont déjà acquis tous les codes d'adultes matures cherchant dans leurs fantasmes la sexualité des expériences troubles et libertines.
Jeunesse qui aura sans doute de la peine à se créer un code amoureux stable, fidèle, et plein d'élans romantiques pour une femme comme pour un homme. Quand plaisirs riment avec jouissances multiples et mécaniques, l'art du nu actuel est au cynisme ce que les grands romantiques furent à la culture. Air du temps, air de luxure glacée, du débauché narcissique en matière de bagatelle. Je t'amuse, tu m'amuses, nous nous amusons... Vive notre amusement. Notre jeunesse se permet tout et c'est normal. Beaux et insolents, ils resplendissent de charme et de volupté, esthétisme des corps en fièvre, magie du ravissement. Au goût du compte, fatales attractions libertines où les couples se sépareront aussi vite qu'ils se formeront par une nuit d'ivresse. Ma question s'adresse à cette jeunesse avide de choses interdites. Comment construire une famille aux temps modernes du porno?
Question sans pompes morales ni cirage religieux. Juste une interrogation philosophique sur la possibilité de vivre en toute confiance et sérénité avec son ou sa partenaire de vie. Car finalement, ce qui ressort de l'expérience du calendrier sexy c'est tout de même le regard interrogateur teinté d'angoisse de la petite copine ou du petit copain qui se demande ce que son ou sa partenaire est allé chercher dans cette aventure. Du fun et de l'innocent? Peut-être. Ou Jeux de mains, jeux de popotins? Les diablotins ne sont peut-être pas si angéliques que ça. Et du soupçon peut naître la cassure romantique. Les histoires à l'eau de rose ne sont plus au goût du jour. Je t'aime moi non plus. L'amour jaunit et finit mal. Et ce n'est pas le libertinage de notre époque qui va améliorer la fidélité des êtres humains pour se plonger dans l'exaltation et la couleur blanche d'un amour unique.
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© DR | Le calendrier sexy 2011 des étudiant-e-s en médecine
18:35 Publié dans Lettres | Lien permanent | Commentaires (2) |
L'Amore
Ne cherche jamais à façonner
la femme aimée à ton image
quand elle vit à tes côtés.
Laisse-là te tuer
sans mots dire.
Laisse-là voyager sans médire.
Laisse-là vivre sans maudire.
Elle te sera toujours
ta meilleure chasseuse,
ta meilleures confidente
à ton coeur touché et blessé
par son absolue liberté.
Une chasseuse détiendra toujours la balle
qui te blessera mortellement.
Je n'ai pas su me taire.
Je n'ai pas su l'aimer.
Elle n'a pas pu me comprendre.
Elle n'a pas voulu m'écouter.
Nous portons tous les deux
la douleur de son départ.
Et la mort qui a remplacé notre amour.
Nous sommes montés à l'arbre.
Nous sommes tombés de l'arbre.
La pomme exaltait le goût du péché originel.
Le marbre et les fleurs que ma poésie dépose
sur le cimetière de notre amour
ne porteront jamais les fruits de notre avenir.
C'est l'apothéose d'Homère.
Si libre et si femme
L ' A M O R E

11:39 Publié dans Lettres | Lien permanent | Commentaires (0) |
A Tfou, l'anonyme commentateur imbécile
Après tout, je vais te dédier un billet, mon ami, mon frère. Le nul que je suis pour toi a décidé de te faire rire jaune. Personne ne rit assez sur cette planète. Tout est si tragique que l'on finit par disparaître sans laisser de trace. D'où que l'on est sans personnalité, sans charisme, sans rien qu'un animal qui mange, boit, et baise, en travaillant entre deux. Evidemment, la personnalité elle est dédiée aux stars du système, à toutes celles et tous ceux, tous domaines confondus, qui apparaissent (et finissent par disparaître) dans les médias. Evidemment, tu m'écrirais autrement et avec respect si, entre guillemets, j'étais une "star" reconnue. Quoique. Aujourd'hui, le respect ça se noient dans du formol car nos gosses ont appris à contester toute autorité morale, politique, religieuse, artistique, avec le plus grand irrespect (faut dire qu'ils ont leurs bonnes raisons, nos jeunes, avec cette société vouée à l'hypercapitalisme, au cynisme, et à l'utilisation de l'autre comme objet façon de parvenir à obtenir ses propres bénéfices) et surtout la plus grande inculture. Nous avons à faire à des écervelés de ton espèce. des jeunes, heureusement encore minoritaires, qui ne pensent qu'à faire la fête, à boire, et sauter sur tout ce qui bouge. Evidemment, le cul ça fait du bien aux tripes et l'alcool ça te les fait vomir. Evidemment, tes copines elles ont tendance à faire n'importe quoi avec n'importe qui pourvu que le mec soit con, mignon, et qu'il soit capable de dire les pires insanités pour les faire éclater de rire. Evidemment se sont des pétasses bien jolies avec qui on veut bien s'amuser. Pour le reste, assumer, et surtout aimer avec les sentiments, souffrir par amour d'une seule fille, ça mon gars tu connais pas encore et peut-être que tu ne connaîtras jamais. La consommation de stupéfiants (alcools, drogues, et filles à gogo) te suffit amplement à ton petit bonheur intime.
Quel vide mec! Quel vacuité remplie. Ton frigidaire est plein de choses qui te remplissent le ventre. Et ton âme. mec! T'as pensé à ton âme? Ben non, c'est clair, puisque Dieu n'existe pas. Donc ta vacuité est en fait un plein d'essence matérielle que tu t'envoies au petit déjeûner, au déjeûner, au dîner. Et la nuit. Tu passes ton temps à ton foutre partout. Tu bâffres et tu bouffes, et tu bois. Fais gaffe à la panne d'essence car un jour elle arrivera sans avertir, un jour de maladie, de dèche, d'exclusion de la société. Ce jour là, petit gars, crois-moi, si ton âme n'a pas été nourrie, tu tomberas comme une mouche que l'on a frappé avec une tapette. Tu ne seras plus rien du tout. Même pas sans personnalité. Plus rien du tout, qu'un déchet encombrant dont tu ne sauras que faire. Tu ne laisseras aucune trace de ta peur sidérale, de ton angoisse viscérale devant le vide, ce vide que tu n'auras pas su combler par une absence de personnalité, une absence au monde, mais compensée au centuple par une présence à toi-même, à ton éveil spirituel, le vrai sens de la vacuité et de l'absence de personnalité. En résumé, un moine sur sa montagne...
Voilà ce que j'avais envie de t'écrire. Pour plus, si je t'ai touché au coeur, je ne te parlerai pas d'islam. Non. Je te parlerai de bouddhisme. Je te donne ci-dessous quelques clés trouvées sur internet concernant le sens premier et essentiel de la vacuité. je te souhaite bonne route dans la vie. Et laisse-toi tomber une fois amoureux afin que tu goûttes à l'essence même de l'amour pour une femme, pas à son sexe, à ton amour profond pour elle qui rejoint la Foi et le sentiment de la Chute si cet amour est rompu par le temps qui court.
« Selon le bouddhisme, tout est en essence vacuité (śūnyatā), tant le samsâra que le nirvâna. Śūnyatā ne signifie pas « vide ». C'est un mot très difficile à comprendre et à définir. C'est avec réserve que je le traduis par « vacuité ». La meilleure définition est, à mon avis, « interdépendance », ce qui signifie que toute chose dépend des autres pour exister. [...] Tout est par nature interdépendant et donc vide d'existence propre. »
La vacuité, traduction de suññata, enseigne que toutes les sensations, perceptions, la conscience sont dépourvues d'une personnalité et dépourvues de permanence. Le terme de vacuité est traité en tant que
- Qualité, caractéristique des choses ;
- Objet sur lequel est portée l'attention ;
- Contemplation de la vacuité : suññata
De même, la vacuité correspond à l'absence de moi. La vacuité renvoie donc aux trois caraxtéristiques de l'existence :
« La simple expression « vide de soi » résume les mots « impermanent » (anicca), insatisfaisant (dukkha) et sans soi (anattā) ». Quand quelque chose est en perpétuelle évolution, dénué de tout élément permanent et stable, on peut aussi dire de lui qu’il est « vide ». »
Voilà. Je ne t'en dis pas davantage. Je t'avais promis au début de mon billet de te faire rire. Alors chose pormise chose due. Bonne route. Et avant d'insulter parce que tu ne comprends rien à une chose, étudie d'abord la chose. Et après reviens me l'écrire. A bientôt peut-être.
P.S. Je n'ai pas du censurer de com de ta part jusqu'à maintenant. Apprendrais-tu à me respecter?
08:33 Publié dans Lettres | Lien permanent | Commentaires (2) |
25/10/2011
Quand j'entends ta voix
Quand j'entends ta voix
c'est l'aube d'une nouvelle vie
qui sourit devant moi
Quand je respire ton parfum
c'est la rose de l'amour
qui pénètre l'épine de mon coeur
Ô mon amour des regrets
pourquoi est-ce ainsi
ces heures si longues qui nous séparent
du bonheur de s'aimer unis?
Ô mon amour aux aguets
j'élèverai des jardins de prière
pour te garder nuit et
jour dans notre rivière de fougères
D'amour
je te porte drapée sur la rive
endormie dans nos labours
tes lèvres en sang d'olives
Tu es l'étoile naufragée
Revenue d'un long voyage
direction Vénus
loin de ton aimé
loin de ta destinée
Ne tourne pas la page
à notre amour galopant
Il reviendra rouler sur la plage
tous les printemps
Dans le Livre des béatitudes
il est écrit que peu connaîtront la délivrance
du désastre et des turpitudes
Mais Dieu a-t-il perdu connaissance?
Mais Dieu souffre-t-il d'un peu de douleur
quand l'amour pleure
dans les coeurs en pluie?
Mais Dieu viendra-t-Il nous serrer tout contre Lui?
D'amour
je t'insuffle la conscience
de t'éveiller à notre délivrance
pour en faire un lendemain de festin
De bonheur je veux vivre
et mourir avec toi
De bonheur je veux libérer
et laver nos coeurs de la trahison
Si du Ciel
Sa punition nous est souffrance
Si de Dieu
nous ne savons plus vivre ensemble
Si du Paradis
l'Enfer nous est promis
Alors je te le jure,
ma soeur, mon amie,
mon épouse, mon amante,
je resterai avec toi
brûler dans les flammes éternelles,
ou nous goûterons au Jardin des Délices
Dieu est Amour
De vengeance Il ne peut
vouloir détruire sa créature
Dieu est Amour
De trahison il ne peut
vouloir la Fin des Temps
dans une horreur globale inhumaine
Car Dieu n'est pas le Traître.
Satan est le Traître.
Dieu est Aimable.
Il est l'Omniscient, le Bon, le Tout-Puissant.
Tel l'Être suprême de Bonté et de Bienveillance
veillant sur les consciences des gens endormis.
Allah ne m'en veut
que pour le mal que je commets.
Allah ne me punit
que pour mes erreurs.
Allah ne me condamne pas
pour l'amour que je porte aux humains.
Allah ne me condamne pas
pour l'amour que je porte
à la flamme de ses yeux.
Elle est là.
C'est elle.
C'est l'amour de ma vie
qui s'en va.
Retiens-là! Embrasse-là!
Sinon tu fais de moi un criminel
et d'elle une épouse répudiée.
Seigneur,
un miracle ou la mort
Sinon rien que le silence autour de nous
Merci à mon amie Maya, soeur de coeur d'Imen,
par qui cette mélodie arrive.
Musulman, c'est d'abord être Croyant en Allah
dans la communion de l'Esprit Saint
Tout de toi me plaît
malgré la déchirure,
malgré les engelures,
malgré les brûlures.
Tout de toi me plaît
et me rend fier de partager
nos instants d'amour.
Même si nos corps n'exultent plus:
même si notre bonheur s'échappe,
même si nos vies se séparent,
tu es mon sang et ma vie,
notre romance et mon espoir.
Impossible de t'oublier
dans mes moments de désespoir.
Impossible de t'abandonner
dans tes moments d'égarement.
Aucun homme ne pourra te donner
ce sentiment d'immense profondeur
né de notre amour.
Give me a melody
just for time a melody
You are my melody
You are my maladie
You are my sad symphonie
Tu vas grandir, petite fille.
Et femme, tu te rappelleras alors de ton grand amour.
25 octobre 2011
Ali Pacha

14:46 Publié dans Lettres | Lien permanent | Commentaires (6) |