30/12/2020
A toi 2020, je te dis by by
A toi qui m'a volé ma liberté
et la joie de m'amuser
sans avoir de soucis
pour la vie de ma voisine;
à toi qui a fait de nous tous
des sortes de cobayes consentants,
une usine mondiale à tests et à masques,
à vaccins et à soins hospitaliers
où les loups déguisés en financiers
n'abattent jamais toutes les cartes
de leur vérité frelatée;
à toi qui a fait de moi
une menace pour mon père,
mes amis, mon entourage,
et même l'inconnue croisée dans la rue;
à toi qui m'a privé de mon amour,
qui m'a mis deux fois en quarantaine,
y compris le dernier jour de l'An,
pour conclure avec ta laide beauté;
à toi qui a su nous priver de sorties,
de boîtes de nuit et de filles,
et même de notre travail et de notre argent;
à toi qui fut vraiment l'année détestable
je te dis by by
avec joie et bonheur.
Ne reviens pas avec tes grands airs distants
et tes grands froids frigides.
Je ne suis pas un homme de glace.
Une année chaude m'attend
et je compte bien lui dire
Welcome 2021
même de ma chambre en solitaire,
où circule mes idées suicidaires
et ma belle qui revient bientôt
encore plus belle,
plus proche, plus lumineuse,
prête à rattraper tout le temps perdu,
à me réchauffer de son corps,
de ses mots, de ses rires,
de ses caresses magiciennes.
Revoir la vie en rose
après cette année de sinistrose.
C'est que nous pouvons tous et toutes nous souhaiter.
22:39 | Lien permanent | Commentaires (0) |
Dieu n'est pas mort. Il est Big Pharmas
Voici mon post de ce matin sur Facebook. C'est sans doute mieux qu'un tweet de Donald Trump mais l'avertissement est inversement proportionnel au succès populaire fulgurant des tweets du futur ex-président des Etats-Unis...
"Le choix politique de miser sur un vaccin anti corona plutôt que de trouver un médicament qui soigne et guérit le plus grand nombre de personnes, sans devoir passer par l hospitalisation, entraîne le devoir de vaccination du plus grand nombre alors même que cette maladie est très souvent peu grave pour les personnes bien portantes. Nous sommes entrés dans l époque de la grande dépendance aux pharmas sans que cela ne révolte les gens puisque cette vaccination quasi obligatoire serait bien pour soi et pour la communauté. Comment alors s y opposer et ne pas passer pour un salaud, un sale égoïste qui mériterait tout à fait son exclusion de la sphère publique? Les big pharmas ont déjà gagné la nouvelle course aux milliards alors que nous n avons pas gagné la guerre contre le corona , le vaccin n impliquant pas une sûreté à 100% que nos sociétés revivront normalement et débarrassées du virus ou d'éventuelles complications graves dues à un vaccin dont nous ne connaissons que peu de choses vu le recul inexistant. C est un coup de poker menteur et si la vérité est ailleurs alors bonjour le désastre humanitaire. Dieu est Big Pharma."
06:30 | Lien permanent | Commentaires (0) |
29/12/2020
2021, toutes et tous dépendant-e-s du vaccin?
Le passeport Covid semble s'installer sournoisement parmi nous. Plus grave encore. Il semble créer une nouvelle psychose bien orchestrée où les gens refusant la vaccination seront fichés et considérés comme des pestiférés.
Pour ces personnes, il y aura risque de perdre leur emploi, exclusion sociale, voir même ghettoïsation. Plus personne ne voudra les loger, les approcher, les considérer comme membre de la communauté à part entière.
La société nous laisse désormais face à un choix intolérable et les gouvernements du monde semblent nous contraindre à ce choix dans un silence étourdissant et assourdissant.
Vaccine-toi ou crève! Sans le dire, ce sera bien cette décision que nous devrons prendre une fois le vaccin disponible pour le plus grand nombre.
Il faut s'imaginer sept milliards de personnes sur la planète toutes soumises à la toute-puissance des pharmas. Il faut s'imaginer que nous ne pourrons plus jamais passer une frontière sans un passeport covid alors que nous vivons au temps de la libre circulation des personnes. Il faut s'imaginer que nous ne franchirons plus jamais les portes d'un musée, d'un théâtre, d'un cinéma, d'un festival, d'un bar, d'un restaurant, d'une chambre d'hôtel et même d'un nouvel appartement sans ce passeport magique que sera la vaccination obligatoire sans avoir été décrétée obligatoire.
La planète, bouleversée en 2020, sera entièrement soumise au monde scientifique des pharmas en 2021 et le coût mirobolant du vaccin sera assumé par nous-mêmes à travers les impôts. Pour les années suivantes, nous devrons subir les piqûres de rappel et accepter à vie d'être sous le contrôle vaccinale sauf si Covid-19 décide de nous quitter définitivement. Si c'est comme la grippe saisonnière, c'est pas franchement gagné d'avance.
Il faut bien réfléchir aux conséquences humaines et psychologiques que le vaccin aura sur nous toutes et nous tous.
Est-ce vraiment la seule solution que l'on peut nous proposer alors même que l'immense majorité des gens guérissent spontanément de cette maladie et que, pour un certain nombre d'entre nous, le virus n'agit même pas de façon virulente sur les corps touchés par lui? Est-ce vraiment la seule façon de procéder et d'imposer aux gens une piqûre qui touchera notre organisme de façon irrémédiable alors même que les symptômes bénins sont hyper majoritaires quand nous sommes atteints par ce virus diabolique?
La piste du médicament efficace était sans doute bien plus à prioriser plutôt qu'un vaccin qui touchera tout le monde. Mais il fallait faire vite et trouver une solution totalitaire qui ne peut que satisfaire à très grande échelle les big pharmas.
Franchement, j'ai peu de confiance en ce choix de nos autorités. Alors même que 1% à peine des personnes touchées risquent vraiment leur vie avec cette maladie et que seules quelques pour cent risquent une hospitalisation, il faudra se soumettre totalement au vaccin dont nous ne sommes pourtant pas encore certain de sa grande efficacité.
Le bon médicament aurait été plus sage. Surtout, il n'aurait pas imposé ce totalitarisme du vaccin imposé à toute la population pour cause de cas de rigueur. Et ce n'est certainement pas un oreiller de paresse ni un article de presse qui m'ont permis de garder un oeil ouvert et très critique sur cette vaccination désormais indissociable de notre propre existence.
Est-ce bien réel ce qui nous arrive en franchissant le cap de cette nouvelle année?
Qui aurait pu écrire qu'en 2021 le monde entier se soumettrait sans broncher à la dictature des pharmas? Georges Orwell ou un autre?
“Vous ne possédez rien, en dehors des quelques centimètres cubes de votre crâne.”
Georges Orwell
07:24 | Lien permanent | Commentaires (0) |
28/12/2020
Artic circle: un petit passage qui jette un froid sur le vaccin
Il y a parfois des séries qu'il faudrait éviter en pleine pandémie. Ou alors, il faudrait une information donnée à la fin de l'épisode pour nous rassurer sur le campagne de vaccination qui a débuté en pleine mutation importante du virus avec la souche anglaise et sud-africaine.
Voici le lien vers l'épisode 6 et le passage incriminé à partir de 21 minutes. Le spécialiste des virus dit que dans certains cas le vaccin peut devenir dangereux en cas de mutation importante du virus... De quoi alimenter la fureur et la paranoïa des réseaux sociaux...
https://www.rts.ch/play/tv/arctic-circle/video/episode-6-...
09:16 | Lien permanent | Commentaires (0) |
27/12/2020
2021
Tu arriveras de l'Est,
le ciel sera toujours aussi sombre,
et la menace, hélas, toujours bien présente.
Comment vaincre un ennemi invisible
quand les profits dépassent l'espérance,
quand les loups se dévorent entre eux,
quand le chacun pour soi
compte bien davantage
que la recherche du bien commun?
Ils nous submergent avec leur décisions
nous condamnant à l'isolement,
comme si le bagne au travail n'était plus
que notre seul perspective d'avenir
et de mouvement.
Travailler et se mettre en cage à domicile.
Travailler pour qu'ils s'enrichissent.
Travailler pour sauver l'économie
et la richesse de quelques-uns.
Et puis se faire vacciner
comme des animaux contaminés
pour rester quand même dans l'ignorance
sous nos masques, en gardant nos distances,
en écoutant bien les dernières directives
venant de Berne ou de Paris.
Pas plus que dix à Noël.
Couvre-feu à 20 heures.
Bars et restaurants fermés
jusqu'au 22 janvier.
Et après le vaccin?
Toujours la même rengaine,
les même migraines,
la même gangrène qui pourrit nos libertés?
Ils ont un plan pour tout,
sauf pour nous rendre la liberté.
Ils prennent des décisions
qui ne sont que des interdictions,
des restrictions, des sommations
de nous convertir au divin vaccin
et de se conformer aux directives.
Sommes-nous si incapables
de décider par nous-mêmes
sur ce qui est bon de faire
quand un virus nous menace?
Sommes-nous si incapables
face à cet ennemi dont les scientifiques
détiennent toutes les clefs de manipulation
nous laissant dans l'ignorance
comme des cobayes passifs et dociles,
des sortes de poupées mécaniques
tendant notre bras à la connaissance
de quelques savants de laboratoire?
Le vaccin n'est pas obligatoire
mais très fortement conseillé.
Mais si nous ne nous vaccinons pas
pourrons-nous encore aller danser
jusqu'au bout de la nuit
parmi les clubbers?
Et si nous nous vaccinons,
les clubs, les théâtres, les cinémas,
les lieux de cultures et de loisirs,
les terrains de foot et de sports,
nous seront-ils ouverts pour de vrai?
Ils ne disent rien
par peur de la révolte
et même de la révolution.
Mais ils nous contraignent
avec leurs lois et leurs amendes.
Ils nous vaccineront en 2021.
Mais qu'elle est leur feuille de route?
Si le vaccin est la solution
pourquoi ce grand silence
sur ce qui nous arrivera au printemps et en été?
Des millions de doses commandées.
Des milliards de dollars pour les pharma.
Mais personne ne veut dire
si nous pourrons bientôt faire la fête,
partir en week-end ou en vacances,
retrouver nos familles, nos femmes, nos enfants,
retrouver notre liberté de circuler,
de nous embrasser,
de danser, de se rassembler,
et de voyager sans entrave.
Mais ils nous conseillent
comme de bons docteurs
et ils nous affirment que le vaccin
sera bon pour nous
sans en apporter aucune preuve.
Dans le doute, abstiens-toi.
Dans l'absence de réponse, abstiens-toi.
Je ne veux pas de vaccin
si je ne connais pas le chemin
que me réserve les politiciens.
Je ne veux pas d'un vaccin
contre l'ennemi
si l'ennemi me condamne
encore et toujours à porter le masque,
garder mes distances,
m'assigne à domicile
comme un prisonnier
après mon travail,
m'impose encore et toujours sa loi
ou plutôt celle de nos dirigeants.
Messieurs les dirigeants du monde,
Il est temps de tracer le chemin
pour 2021.
Si vous voulez nous fourguer votre vaccin,
Il est temps de nous dire la vérité sur l'assassin,
sur l'efficacité ou non d'un nouveau produit
qu'ils veulent nous injecter dans le corps.
Je ne prendrai qu'un produit étranger
qui menacera mon corps
que si on m'affirme que la société retrouvera
sa joie de vivre et la liberté en 2021.
Je ne prendrai ce vaccin
que si je sais qu'il vaincra le virus
et que nous pourrons alors nous serrer la main,
nous embrasser, nous aimer sans réserve,
nous réjouir sur une piste de danse,
avec l'insouciance d'avant,
avec la liberté d'avant,
avec le droit de faire ce que je veux,
quand je veux, et avec qui je veux.
Je ne suis pas une expérimentation animale.
Je suis un être humain qui tient à sa santé
et qui se défend contre le virus
avec son bon sens à défaut du produit miracle.
Le chemin n'est pas clair du tout.
Le vaccin est là mais personne n'est là
pour tracer la route vers notre liberté.
Il y a comme un grand malaise
et une sorte de loi du silence.
Et face à cela,
je ne suis pas censé me faire fourguer
un produit qui ne changera rien
à ma situation de confiné.
J'exige des réponses
avant de me faire vacciner.
Sinon, pas question de se faire vacciner
et d'offrir mon corps aux expérimentations
de quelques grosses firmes pharmaceutiques
qui se fichent bien pas mal de ma santé.
Tu arriveras de l'Est,
le ciel sera toujours aussi sombre,
et la menace, hélas, toujours bien présente.
11:23 | Lien permanent | Commentaires (0) |